Comme chaque année la rentrée universitaire se traduit par de nombreux bizutages en tous genres. Oups ! j’ai écrit bizutage, non c’est interdit, maintenant il s’agit de journée, week-end ou semaine d’INTEGRATION.
Intégration qui est devenu une nouvelle fois synonyme de bière, dans tous les sens du terme…
Eh oui encore un étudiant qui va se retrouver en bière suite à un de ces week-end. Etonnant d’ailleurs comment un étudiant en 4éme année de Droit se retrouve-t-il au sein d’un week-end d’ « intégration » de la faculté Dentaire de Nancy ?
Chaque année depuis des décennies bizutages ou intégrations se traduisent par des viols, des mutilations physiques et/ou psychiques et parfois par des décès. Jusqu’à quand va-t-on tolérer cela, il faut rappeler que le bizutage est puni par la loi d’où la disparition de ce mot au profit d’intégration.
Mais chacun sait que ces journées d’intégrations ne sont surtout qu’un moyen pour quelques étudiants des années supérieures de se laisser aller leurs pulsions sadiques envers les plus jeunes, le tout soit disant pour unir les petits nouveaux au sein de leur promotion et dans la « grande famille » des étudiants de l’école ou filière universitaire.
De qui se moque-t-on ! Pour unir un système de tutorat est bien plus efficace et surtout non seulement plus positif mais permettrait aussi une bien meilleure réussite pour les premières années.
Il ne faut pas se leurrer, la plupart des doyens et chefs d’établissements sont complices, activement en donnant des locaux à disposition ou passivement en laissant faire.
Combien de morts faudra-t-il encore. Enfin dans ce cas je suis très peiné pour les parents de ce jeune homme, qui doivent être au désespoir. Mais je n’ai pas de peine pour lui, car que faisait-il là ? S’il n’était pas du côté des bizutés, de quel côté était-il ? …
Tout à fait d’accord. Rien à ajouter …
moi aussi je suis totalement d’accord; j’en ai aperçu quelqu’uns à l’ULB, qui étaient couverts de farine de la tête aux pieds avec une autre substance (oeuf je crois) pour que ça colle mieux, obligés de se mettre à genoux et entendre les pires insultes…
j’étais tellement écoeurée que je n’ai pas pu m’empêcher de dire aux petits « bleus » d’arrêter de se laisser traiter comme ça !
Je n’ai pas été entendue, évidemment, et je n’ai pas non plus été enduite de farine en guise de représailles malgré la menace qui fusa !
Plus ça change et plus …
Heureusement que tu n’as pas reçu de farine Niki ! Je n’ose imaginer le sort que tu aurais réservé à ces petits m*rd*ux LOL. Ils ont eux de la chance en fait 😉
je trouve celà parfaitement dégueulasse le bizutage. pourtant il y a cetteloi, ils s’en foutent tous même le chef d’établissement qui joue la couleuvre il sdisent tous « non il n’y a pas de bizutage dans mon établissement »! tu parles iils le font en dehors, le milieu médical est assez terrible, caroline a un ecopine en médecine le bizutage dure presque l’année au détour d’un couloir on souille leurs vétements avec des produits qui font que les fringues sont bousillées. je trouve celà nul mais nul. je me souviens dans le journal un bizutage de pompiers qui doivent sauver les vies comme le milieu médaical d’alleurs, ils avaient attachés un « bleu » sur une croix à une hauteur monumentale la croix est tombée et le jeune bleu aussi. je ne sais plus si il est décédé ou paralysé. je ne comprendrais jamais ce genre de stupidité, àl’iut de lisieux alex avait subit ce genre de choses il devait être habillé avec un sac plastique sur les fesses au dessus des fringues heureusement et vendre du papier wc. Il s’en était tiré et avait trouvé celà crétin. Mes enfants sont contres ça
C’est toujours crétin ces bizutages, mais je me souviens qu’à un moment les étudiants d’une école d’ingénieur dans le domaine agricole de Lille l’avaient remplacé par une journée à nettoyer des fossés, des bords de rivières etc. en finissant par un grand pic-nique. Voilà une superbe idée pour l’intégration. Je ne sais pas si cela se poursuit encore aujourd’hui, mais je l’espère.