Dorian Gray – d’Oliver Parker (2009)

Après la mort de son grand père, Dorian Gray s’installe dans la maison familiale à Londres. Henry Wotton lui fait découvrir les différents plaisirs. Basil Hallward, un ami de Wotton, lui fait son portrait. Mais un pacte diabolique l’unit au tableau.

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Dorian ne vieillit plus, seul son portrait se dégrade au fil du temps et d’autant plus vite que sa perversité augmente. Il devient non seulement le reflet de son corps vieillissant mais aussi de son âme.

Mais vingt-cinq ans plus tard ce don se transforme en cauchemar.

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C’est étonnant mais ce film qui est sorti en DVD le 1er septembre dernier, n’a pas été distribué en France pourtant il se laisser regarder bien mieux que nombre de navets qui fleurissent nos écrans.

Si cette version est différente du film de 1945 et même très librement adaptée du roman d’Oscar Wilde, il en reste tout de même le thème principal. Certes on pourra toujours regretter, comme je le fais souvent pour certains films, une espèce de trahison du roman, mais si l’on oublie à la fois le roman et le film de 1945 on passera un bon moment et c’est le principal. Ce qu’il y a peut-être de plus ennuyeux c’est que toute une partie du film qui nous montre les non-dits, mais suggéré, du roman.

Ben Barnes incarne Dorian et il faut avouer qu’il ne manque pas de charme tant dans l’interprétation du jeune homme séducteur et Don Juan, que dans celle de l’homme plus mûr mais toujours aussi aussi jeune physiquement, désabusé et torturé.

Le rôle de Lord Henry Wotton est tenu par Colin Firth.

Le film m’a paru très court c’est donc que je ne me suis pas ennuyé en le regardant, c’est déjà un point positif.

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7 Commentaires
  1. 20 septembre 2010
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  7. 6 octobre 2010

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